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L'Institut Français de Kinshasa fête les 30 ans de l'université d'été de la Fémis - Ciel Bleu
vendredi, avril 19, 2024
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L’Institut Français de Kinshasa fête les 30 ans de l’université d’été de la Fémis

Célèbre école de cinéma Française, jour pour jour l’université d’été de la Femis totalise 30 ans d’expérience au service de l’éducation artistique.

Pour marquer le 30ème anniversaire de l’université d’été de la Fémis, l’institut français de Kinshasa à organiser, ce samedi 19 octobre 2019, une conférence d’échanges d’expériences avec huit des réalisateurs congolais ayant déjà bénéficié du concours de cet almamater.

Faisant parti de la première table Ronde, Abraham Mohindo a démontré à l’assistance combien c’était facile pour lui d’accéder à cette formation où il a été guider par les anciens de Femis.

Et c’est le film “Mama colonel” qui l’a permis de comprendre ce que s’est un vrai film. Il a en outre expliqué en un mot la procédure consistant à expliquer en Claire son projet. Et puisque la ville de Goma ne possédant pas d’institut français à l’époque, c’est le directeur délégué de l’Institut français de Kinshasa, Samuel Pasquier qui l’a aidé dans bon nombre des démarches relatives à sa première fois à Paris.

L’université d’été de la Fémis, a-t-on appris lors de cette réunion artistique, est non seulement l’occasion d’apprendre et de produire un vrai film mais aussi de se créer des connexions avec d’autres personnes évoluant dans le 7ème art.

Pour corroborer ceci, ce producteur et réalisateur de film a parlé de son passage au festival de film en Chine et un autre au Sénégal. C’est grâce au contact créé avec les autres rencontré sur place.

Pour Ma Chérie Ekwa, la réalisatrice du film « Makila », l’université d’été de la Femis lui a permis de se faire une autre idée sur le cinéma de manière générale. C’était une expérience très appréciable de travailler en équipe et l’occasion d’apprendre beaucoup des choses à la fois avec l’échange des rôles tantôt à la caméra, tantôt au son. C’est d’ailleurs ce qui fait qu’aujourd’hui qu’elle soit en mesure de manipuler plusieurs outils à la fois.

Elle a outre relevé à l’assistance la partie de la formation sur le son dans le cinéma. Ce qui l’a plus tiqué s’agissant de raconter le film avec le son.

La seconde partie de ladite conférence a connu les partages d’expériences de ces autres cinéastes congolais ayant participé à Femis et présentement à Kinshasa parmi lesquels Tshoper Kabambi, Moimi Wezam, Michée Sunzu, Abraham Mohindo de Goma, David de Lubumbashi qui, se complétaient à tour de rôle sur cette expérience qui pour certains à savoir David, l’a permis de légitimer sa formation en cinéma alors qu’il était déjà, dans son coin du Katanga, en train d’organiser des ateliers pour des jeunes. Laquelle formation, sur le plan psychologique, l’aurait doté d’une ascendance surtout dans sa province.

S’en est suivi d’une autre activité similaire à l’espace kembo toujours dans l’enceinte de l’IFK. Il s’agit de la présentation du campus France qui également nécessite des témoignages de Tshoper Kabambi et de Ma chérie Ekwa qui ont motivé l’assistance sur la possibilité et avantage de participer à ces opportunités de formation avec le campus France.

Ils ont exhorté les volontaires à ne pas briser leur rêve en abandonnant son objectif premier pour décider brusquement de rester en France.

Blaise Puala

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