« Nyimbo Za Kwetu » , c’est le spectacle que le public congolais plus particulièrement ceux de la ville de Kinshasa va bénéficier ce samedi 15 février 2020. C’est aux alentours de 16h, heure de Kinshasa, que le foyer universitaire Saint Paul, à Lemba – Righini, va accueillir ce spectacle avec le choeur la grâce.
« Nyimbo Za Kwetu » tiré de la langue swahili, est traduit en français « les chants du terroir ». C’est donc sous ce thème à savoir « les chants du terroir » que être coloré ce spectacle musical que va présenter le choeur la grace dans cette ville métropole.
A en croire, Ambroise Kua Nzambi, le directeur technique de Chœur la grâce, au-delà de la démarche évangélique et sacrée visé principalement, il y a leiu d’évoquer le discours de la valorisation de nos richesses musicales chorales reste aussi notre noble défi pour sa reconnaissance, d’abord chez nous ensuite au-delà de nos frontières.
C’est ce samedi 15 février 2020 sous le coup de 16 heures locales au Foyer universitaire Saint Paul à Lemba – Righini que Chœur La Grâce nous invite pour un spectacle musical essentiellement congolais dénommé « Nyimbo Za Kwetu. » Nyimbo za kwetu en langue swahili qui se traduit en français par les chants du terroir.
A propos, contacté par Gospelmuzik.cd, Ambroise Kua Nzambi directeur technique de Choeur La Grâce affirment qu’ :
au-delà de la démarche évangélique et sacrée qui est primordiale, le discours de la valorisation de nos richesses musicales chorales reste aussi notre noble défi pour sa reconnaissance, d’abord chez nous ensuite au-delà de nos frontières.
Pour ce concert qui se veut 100 pour 100 congolais, Ambroise Kua Nzambi précise aussi que le chœur chantera en 7 langues toutes de la république démocratique du Congo des chants composés par les membres du chœur.
Des chants à considérer comme des vrais trésors du répertoire choral congolais, africain et même mondial.
Pour qui aime le chant chorale, ce rendez- vous qui est du reste non-payant, est un must car le « lyrisme africain sera au rendez-vous révélant sa force dans le mélodème et ses phonostyles, » rassurent les organisateurs.
La rédaction