Le mercredi 11 décembre, le directeur de cabinet du ministre provincial de l’Environnement, Onésime Aitoche a procédé au lancement des travaux de la 2ème édition du Festival du jardin organisée prévu du 11 au 15 décembre à Kinshasa.
C’est le bâtiment administratif de cette institution provinciale situé dans la commune de lingwala qui a accueilli le lancement de cette 2 ème édition dont le thème est « Le réchauffement climatique : Kinshasa s’implique ».
Dans son mot de circonstance, il a fait savoir que les villes du monde sont éprises par les réalités du changement climatique qui cause entre autres effets : la sécheresse, les inondations, les érosions à la base des dégâts matériels et des pertes en vies humaines.
Ces assises, a-t-il dit, viennent soutenir la vision du Chef de l’Etat, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo qui entend doter le pays des villes « vertes et assainies », afin de renforcer sa résistance face à ce fléau.
« Aucune nation, aucune ville ne doivent se sentir à l’abri du réchauffement climatique dont tout indique qu’il faut simplifier aux prochaines décennies partant des arrangements des nations du monde au rythme de l’évolution de la situation générale de la planète, a-t-il déclaré.
Réchauffement climatique, une question urgente et prioritaire
Intervenant à son tour, l’environnementaliste,
Colin Nzolalu, environnementaliste, un des intervenants a exhorté les participants à s’approprier de la lutte contre le réchauffement climatique, ajoutant que ce festival devrait mettre tout un chacun face à ses responsabilités pour la protection de l’environnement.
Jeanette Bosengezi, la présidente de l’ONG « Logos » a, elle, exposé sur la gestion des déchets en soutenant que le système de recyclage de déchets faborise l’assainissement du milieu et la création des bénéfices, recommandant ainsi l’Etat d’arrêter des mesures efficaces de lutte, notamment l’interdiction des sachets dans les supermarchés.
Plusieurs thématiques ont été abordés tels que : « L’éducation environnementale », «L’arsenal juridique de la protection de l’environnement », « Faire de la transformation numérique un accélérateur de la transition écologique », etc.
ACP/ Ciel-Bleu Actu