Festival Nyota, 4e édition. La femme, être spécial mis au côté de l’homme par le créateur, mérite d’être célébré pour son rôle majeur jouait dans la société confer l’adage populaire « eduquer une femme, c’est éduquer toute une nation.C’est dans ce cadre festif du 08 mars où l’humanité toute entière a célébré la femme que l’espace culturel Tcherkando te partenaire de la plateforme culturelle Ciel-Bleu et palm beach ont tenus à marquer d’une pierre blanche cette journée de la femme avec le concours, il faut le souligner de Goethe-Institut Kinshasa et de Bomoko femme.
Cette célébration de la femme avait pris en compte divers secteurs où évoluévolué cette dernière avec une exposition pluraliste qui a débuté de 10h à 17h toujours à l’espace palm beach, cadre choisi pour accueillir cette 4eme édition du Festival Nyota qui s’est centrée autour de la femme.
Alors que l’exposition avait débuté depuis l’avant-midi, une autre activité connexe est intervenue à 15h; il s’agissait de la table ronde dénommée « YOKA NGAI PE MWASI ». À laquelle a été invité toutes les femmes à prendre activement part.
Il a donc était convié à cette réunion dédiée à la parole de la gente féminine, toutes les catégories des femmes sans exception à savoir la femme d’affaire, femme au foyer, femme artiste ou étudiante, célibataire ou mariée, congolaise ou expatriée, afin de partager des expériences personnelles et réagir sur quelques thématiques d’actualité.
Avec une marque purement artistique pour archiver cette rencontre, une oeuvre a été réalisée par les prises de paroles documentées en direct par un dessinateur professionnel.Et à partir de 19h, c’était le chaud avec l’ouverture de la grande scène musicale à laquelle a défilé divers artistes féminin dont Mama Africa et les autres ainsi que les collègues hommes, compagnons de la femme de tous les temps, dont l’artiste musicien Moïse Mulumba dit Moses, Jason Moyena ainsi que Romain Richard de la Belgique.
C’était une façon de clôturer en beauté ladite soirée en l’honneur de la femme à quelques encablures de la gare centrale de Kinshasa.
Blaise Puala