Cela faisait un bon bout de temps depuis que les habitants du quartier Baobab, précisément ceux de l’avenue Bulungu dans la commune de Ngaba se sont vus abandonnés à leur triste sort face au délabrement très avancé du triste pont portant le même nom à savoir le Pont Bulungu comme beaucoup aiment bien le nommer, en référencement au nom de l’avenue où il se situe.
Des cris de détresse ont été lancés depuis, seulement sans porter aucune réaction de la part de l’autorité compétente.
Ce pont presque disparu puisque ne tenant que d’un fil, représentait un danger permanent pour toute la population de Ngaba surtout pendant la pluie où il n’y avait pas moyen de repérer ces quelques centimètres qui restaient encore de cette vielle passerelle construite il y a belle lurette.
Cette fois-ci la chance était totalement de leurs côtés. Les cris d’alarme lancés il y a plusieurs années ont trouvé gain de cause grâce à celui que « les banas Ngaba » entendu la population appelle désormais Jean Baptiste, celui qui a été le héros dans l’ombre de cette hsitoire. Il s’agit en effet, d’un homme de média en la personne du journaliste Damien Mpoto, membre de l’organisation « famille Cebs »
Loin d’être une action politique, ces cris de détresse, avec la magie de la technologie et de la force des médias, sont tombés sur les oreilles du 1er vice-président de l’Assemblée nationale, Jean Marc Kabund.
Ce dernier n’a pas manqué de dépêcher, d’urgence, une équipe d’experts et ouvriers à l’oeuvre tenant, sans nul doute, compte du danger permanent que cela représentait.
Dans un entretien à chaud avec l’equipe de Kinshasa du magazine numérique Ciel-Bleu Actu, Damien Mpoto qui a été le héros dans l’ombre en portant haut ces doléances de la population de Ngaba, n’a pas manqué de témoigner toute sa gratitude au réalisateur de ce pont moderne Jean Marc Kabund.
Il a par l’occasion exhorté les personnalités de touts les secteurs de la vie sociale de se lancer patriotiquement dans cette vision en posant des actes de bonne foi sans tenir compte d’un certain retour. « Posons des actes pour le bien-être social et non pour des intérêts personnels », a-t-il fait savoir.
Blaise Puala