L’institut français de Kinshasa-IFK va accueillir ce 02 novembre, la 4 édition de Mukongomami, ce festival de musique reggae de Kinshasa.
L’information a été confirmé ce 30 octobre au cours de la conférence de presse organisé dans sa salle de cinéma.
Cette année, cette activité se declinera également entre conférence, action et grand concert dans le quartier de Kinshasa.
Au fil de temps, l’artiste musicien Kassim Lafraz pratiquant ce style de musique, a reussi a inscrire le festival Mukongomani Reggae entant qu’activité de decouvertes musicales aux côtés de l’histoire d’une musique consciente.
Laquelle prendrait en compte des generations de musiciens qui s’y succedent et dont l’engagement citoyen s’affirme.
Ce dernier, initiateur de ce projet renseigne que, Mukongomani qui signifie premièrement congolais et offre au public une musique Regea purement congolaise.
Il a en outre été révélé que pour cette 4ème édition, sept groupes musicaux pratiquant du reggae bien sûr, seront sur la scène de la grande halle.
Au cours de cette conférence de presse ayant comme thème « Le Reggae et la RD Congo, une histoire, il a été question de faire un zoom sur la participation de la musique reggae au développement.
Intervenant à son tour, Alma Yilu, artiste congolais adepte du reggae, a profité de l’occasion pour expliquer l’origine c’est cette musique qui aaurait été créé par des decesndants esclaves, un peuple en souffrance qui trouverait en cette musique, un moyen pour véhiculer leur message.
Selon ce dernier, le mot reggae est un terme bantoue tirerait son origine du côté de tanganika signifiant querelleur signifiant que des personnes.
En plus de cette journée d’informations, il est prévu, le jeudi 31 octobre au Quartier cinq à Ndjili, au district de Tshangu, le challenge trashtag consistant au nettoyage de ce coin.
Il est à noter que le reggae fut lancé en Jamaïque à la fin des années 1960 dans un contexte de forte émulation entre petits producteurs de musique.
Et actuellement, le reggae qui a un origine déjà controversée, est une musique universelle, comme l’a toujours souhaité son principal ambassadeur, feu l’artiste Bob Marley.
Blaise Puala