» Réseaux sociaux », c’est le titre de la chanson que va très bientôt lancer l’artiste musicien Congolais Fréd Kabeya pour décrier la dépravation des mœurs à fréquence répétée qui se constate à l’heure actuelle.
Nul n’est sans l’ignorer que de nos jours, cet outil émanant de la nouvelle technologie de l’information et de la communication -NTIC- ne cesse de faire parler de lui tant en bien qu’en mal. Et cela serait tout à fait normal s’il faudrait s’attarder sur l’hypothèse evoquée par certains selon laquelle, dans chaque chose, l’on compte d’un cote des avantages et de l’autre des désavantages.
Seulement à ce jours, plusieurs personnes, responsables et humanistes soient-ils, se plaignent de l’utilisation abusive de certains réseaux sociaux à savoir Facebook et WhatsApp pointés du doigt comme l’endroit des crimes contre la personnalité. L’espace choisi par d’aucuns pour régler leur conflit ou encore régler des comptes à celui ou celle qui l’aurait offensé.
Se sentant très laissé par cette mauvaise façon de faire les choses, Fréd Kabeya, cet artiste musicien engagé, n’a pu se taire surtout en cette période où son pays la République Démocratique du Congo se lance dans des invectives allant jusqu’à saturer la toile alors qu’il y a plus important que ça à faire sur ces réseaux sociaux.
Ce dernier, exhorte la population congolaise à éviter de balancer n’importe quoi sur la toile à longueur des journées. Elle devait plutôt utiliser les réseaux sociaux à bon escient pour ne pas laiser les autres surtout ceux qui sont reconnus comme des âmes sensibles.
Dans son analogie, l’artiste parle de travailler dans le noir et tous les téléphones seront éteints pour ainsi avoir plus de temps pour partager les valeurs.
L’appel pressant lancé dans cet opus qui sera, très bientôt, disponible à la consommation un de ces quatre matins, devait interpeller ceux-là qui s’exercent dans telle pratique abusive des réseaux sociaux dégoûtant et décourageant certains de s’en servir et ne pas bénéficier des opportunités qu’ils offrent tant en matière d’information, retrouvailles, publicité et autres, devait changer l’appréhension de ces derniers.
Blaise Puala